
Elle est l'à, elle m'attend. J'espère ne pas l'avoir trop fait attendre. Sa main, sa douce main tremble. Aurait-elle froid ? En ce mois d'octobre c'est fort probable.
Comme poussé par un élan inconnu mon corps se retrouve désormais à ses côtés. Je saisie sa main, dans un sursaut la douce relève les yeux vers moi et m'adresse un sourire charmeur, c'est fou comme ce sourire me rappelle ma maman. De belles dents alignées et une expression faciale rassurante, tel un ange.
Angie : Bonjour Louis
Moi : Bonjour mon ange (souriant)
Ce sourire, encore ce sourire, je crois bien que même ma maman n'en a pas un si beau. Elle est tellement belle, je retiens tout mon corps car guidé par mon c½ur je n'ai qu'une envie, c'est de poser mes lèvres sur les siennes.
Elle me saisie le bras et m'emmène loin du restaurant dans lequel j'ai commandé, que ce passe-t-il ?
Moi : Où va t-on mon ange ?
Angie : Au paradis.
Pdv Externe
Le jour où l'amour sera prévisible le monde sera loin de ce qu'il doit être. C'est alors avec l'impossibilité de comprendre la destination, prénommée « le paradis » par la belle blonde, que l'amateur de carottes se laisse trainé comme confiant sans l'être.
Loin du tumulte citadin c'est à travers deux pins que le paradis se révèle. Une vaste parcelle de terre ornée d'un lac scintillant.
Louis : Angie c'est ...
Angie : shht ...
♫
Elle avait désormais posé son indexe sur ses lèvres chaudes et tremblantes, son visage s'approcha doucement de celui du mécheux avant de lui susurré doucement dans le creux de l'oreille « Dit moi que ça te gène et j'arrête ça desuite ... », il fit un non de la tête avant de replonger dans les prunelles scintillantes de sa douce, elle ferma les yeux, comme si elle entré désormais au paradis. Une brève seconde passa avant que leurs lèvres se touchèrent. Soudain, comme un gros « Boum » dans la poitrine du mécheux, comme un rêves, une sensation semblable a son entrée au paradis. Passant ses bras tremblant autour de la taille de la jeune femme il l'a rapprocha de son corps en un geste bref mais doux, comme une explosion de bonheur pour les deux jeunes adultes. Elle avait ses mains sur ses joues encore brulante et embrassée ses lèvres comme si leurs destin devaient se quittés ce soir même. L'étreinte de s'éternisa pas, mais c'est comme si le jeune homme y avait consacré une vie, trop peu a son gout mais les bonnes choses ont une fin, quelques soit les motivations des protagonistes.
S'écartant l'un de l'autre c'est comme si il n'y avait qu'eux sur terre, leurs prunelles se fixèrent le temps d'une minute terrestre mais l'équivalent d'une éternité trop brève pour les deux jeunes gens.
Tout deux souriaient, comme un sourire réciproque qu'ils s'étaient adressé au même moment, comme la conclusion d'une étreinte adorée.
Angie : C'était ...
Louis : Magique. (Souriant)
Un sourire de nouveau partagé. Il saisie sa légère main et entre lassa ses doigt a ceux de son ange, les entrelaçant comme s'il ne voulait plus jamais être séparé de son bonheur.
Louis : Come home to me.
Angie : je te suivrais n'importe où.
Un temps incertain pour revenir au lieu de rendez vous afin de récupérer la voiture du brun pour ensuite retrouver la somptueuse maison du groupe et qui sait, peut-être présenter la belle blonde au groupe ?
Une fois le trajet parcourut une vague de stresse envahit soudainement la blonde, un stresse ? Mais due à quoi ?
La porte s'avérée franchit, et tout le groupe fixé ave insistance le couple naissant.
Louis : Je vous présente Angie ma ...
Harry : C'est elle ? (souriant)
Louis : Oui c'est elle ! (souriant)
Liam : Ta ?
Louis : Petite amie.
Ce fut un choc commun. Un choc de bonheur et de surprise positive, en un bref instant tout le groupe s'était levé pour saluer la nouvelle venue et félicité le nouveau couple. Le stresse envolé, le bonheur partagé, que demander de mieux pour un début ?
28 Octobre
Une semaine, voilà une semaine que le jeune couple est désormais ensemble. Une semaine passée principalement sur le canapé de la maison du groupe. Une semaine à sourire, à rire, à se susurrer des mots doux et à s'embrasser délicatement les lèvres. Soudainement la blonde se leva brusquement de l'emprise des bras de son petit ami pour se mettre face a lui et lui lancer un « j'ai envie de faire quelque chose de fou louis ! », quelque peu désorienter le mécheux acquiesça de la tête sans pour autant comprendre les pensées de sa belle. Le tirant par le bras et riant d'un rire mélodieux et infantile elle l'emena dans le jardin, malgré la violente pluie qui s'abattée sur le petit quartier londonien, et elle déclara un doux « maintenant, embrasse moi ».
Louis : Rendre Angie tu vas attrapée froid !
Angie : Embrasse-moi d'abord. J'ai toujours rêvée de faire ça Louis !
C'est alors avec un sourire amusé qu'il s'approcha de sa belle pour déposé ses lèvres délicatement sur les siennes. Déposant ses mains tremblantes sur les hanches de la jeune femme il l'a souleva avec rapidité et l'a fit tourner autour de lui, écartant les bras et laissant tomber son buste en arrière la blonde profita de se moment comme d'une scène de film. Repositionnant ses mains sur les joues froides du jeune homme elle reposa ses lèvres sur celles de son petit ami et pour terminer cette étreinte romantique lui susurra délicatement a l'oreille un doux « je t'aime Louis », qui le fit sourire comme s'il venait d'apprendre qu'il venait de gagner la cagnotte du loto. Il l'a reposa a terre et chuchota a son oreille nue « Je t'aime aussi mon ange. Comme la fleur aime la pluie, comme l'arc en ciel aime le soleil, et comme l'homme aime son trésor. Désormais, je n'imagine pas ma vie sans toi. Je t'aime Angie, je te le répéterais jusqu'à ce que mon corps n'en puisse plus. Je t'aime et personne ne pourra jamais rien y changer. » Un doux poème tant aimé par Angie, elle souri, un sourire sincère et amoureux, un sourire qui traduit une émotion sans avoir besoin de parler.
Le léger soleil d'automne c'était couché, le groupe avait désormais mangé et c'était installé autour d'une table. Au programme de la soirée, un bon vieux action-vérité pour apprendre à mieux connaître la nouvelle venue.
Paris (regardant Angie) : Quel est ton nom entier Angie ?
Angie : Je m'appelle Angélina Swann, mais tout le monde m'appelle Angie. (Regardant Liam) Action ou vérité ?
Liam : Vérité.
Angie : Quel est ton animal préféré ?
Liam : La tortue (riant)
Un jeu passionnant où tous le monde apprend a se connaître doucement au fil des questions.
30 Octobre
Paris : Harry ?
Harry : Oui mon c½ur ?
Paris : Tu m'aime ?
Harry : Oui pourquoi ?
Paris : Tu m'aime comment ?
Harry : Je t'aime comme on aime une s½ur, une fille, une mère. Pour moi tout ça n'est pas qu'une simple amourette comme j'ai eue avant, pas un simple amour, pas une passion qui s'atténue au fil du temps. Je t'aime d'un amour passionnel, je ne t'aime pas paris, je suis amoureux de toi, de ton humour, de ton caractère quelque peu lunatique, de ta peur du noir, et de tous ces petits détails qui font de toi une femme extraordinaire. Toi et moi Paris, c'est pour toujours et a jamais.
Bouche bée dans les bras de son petit ami la brune pris l'inissiative de poser délicatement ses lèvres sur celles du bouclé. Un baiser passionnel et intemporel de par sa durée dans le temps, une durée quelques peu courte pour les deux protagonistes mais si désiré.
Paris : Et si tout s'arrête un jour ?
Harry : Comment ça ?
Paris : Si un jour tout ça s'arrête, et que nos chemin se sépares ?
Harry : Alors je te laisserais vivre ta vie comme tu le dois.
Paris : Et si c'est toi qui y mets un terme ?
Harry : Je n'y mettrais jamais un terme.
Paris : Pourquoi ça ?
Harry : Car comment fini une fleur sans eau ?
Paris : Elle meure ?
Harry : Imagine que cette fleur ce soit moi et que tu sois mon eau.
Paris : Harry ...
Harry : Une simple métaphore t'a fait comprendre ce que j'ai mis temps de temps à comprendre en moi, c'est amusant dans un sens.
Le dévisageant de ses yeux amoureux elle se répétait dans sa tête sa phrase « : Imagine que cette fleur ce soit moi et que tu sois mon eau. », une douce perle salée dévala son visage encore marquée par un sourire de joie avant de venir s'écrasée au sol. L'effaçant à l'aide du revers de son pouce il déclara un « pourquoi tu pleure ? » Avant de recevoir la réponse de sa brune.
Paris : je pleure car jamais on ne m'a fait un tel compliment. Je pleure car je n'imagine plus ma vie sans toi et je sais que même si un jour nos chemins se séparent je ne cesserais jamais de penser a toi. Sache bien, Harold Edward Styles, que moi sans toi, ma vie sans toi, je ne l'ai jamais imaginée et je ne l'imagine toujours pas. Alors promet moi juste une chose, c'est que même si nos chemin se sépares, n'arrête jamais de faire ce que tu aime. Ne laisse jamais rien passer avant ta passion.
Il essaya d'ouvrir la bouche sans succès car le doigt de la brune avait déjà heurté ses lèvres accompagné d'un « chut ». Il s'avança alors vers elle et déposa ses lèvres sur les siennes.
Une somptueuse étreinte adorée par les deux adolescents, malheureusement interrompue avec l'intrusion du meilleur ami du couple.
Louis (entrant subitement dans la chambre) : Harry !
Harry (levant les yeux vers le mécheux) : Hum ?
Louis : Oups pardon !
Harry : Pas de soucis Louis, qu'es qu'il y a ?
Louis : ça peut attendre. Je vous laisse ! Faites pas trop de bébés ! (riant)
Il referma alors la porte. Levant les yeux au ciel le bouclé prononça un simple « louis ... » avant de replonger les yeux sans ceux de la jeune femme qui lui faisait face.
15 Décembre 2012
♫
« 1, 2, 3 ... Chargez ! »
Le corps de la jeune femme se souleva légèrement du sol. La scène berçait par les pleurs des personnes alentour. Un « bip » assourdissant envahit l'espace, c'était fini. Malgré toutes les barrières de sécurités le bouclé se rua vers sa brune. La serrant dans ses bras comme s'il ne voulait plus jamais la lâcher. Pleurant, hurlant, Harry ne comprenait pas. C'est comme si tout s'écroulé autour de lui, comme si ce si bel équilibre qu'il avait remit en place s'effondrait à nouveau. La serrant se plus en plus fort tout en restant le plus doux possible il ne cessait de répéter « Réveil toi Paris, je t'en supplie, réveil toi ». Il saisie sa main, sa douce paume encore chaude semblait désormais si vide. Ses prunelles dorées brillaient au soleil que ce jour d'hiver offrait à ce noble pays anglophone. Il embrassa sa joue, puis sa tempe et enfin ses lèvres. Ses larmes ne cessait se coulaient, de plus en plus, comme si les litres de tristesse qu'il versait la ramènerait. Une main se posa sur son épaule, se retournant d'un geste brusque il découvrit son meilleur ami, pleurant pratiquement autant. Il lui chuchota délicatement a l'oreille un « aller Harry, vient, ne te fait pas plus de mal ... » il commença à le tirer vers lui mais fut rejeta d'un geste brutal.
Harry : Tu ne comprends pas louis ! Elle est morte ! Morte ! Ça signifie que je ne l'a reverrais jamais. Jamais je ne reverrais son sourire, cette étoile dans mon ciel sombre. Plus jamais je n'entendrais son rire qui illuminé mes jour de pluie. Tu ne comprends pas Louis, sa vie sans elle c'est impossible ... Impossible ! (Pleurant) Je t'en supplie Louis dit moi que c'est un mauvais rêves, que je vais me réveiller a ses côtés, et que demain ce cauchemar va s'arrêter. Je t'en supplie, dis moi que tout ça est faux. Ça ne peut pas se finir comme ça, c'est impossible ... Je l'a voyais déjà avec une bague au doigt, une bague que j'aurais acheté moi même et que je lui aurais passé au doigt au fil d'un repas dans un des restaurant les plus chers. Je m'imaginer déjà cette ange dans une robe blanche que je lui aurais fais faire sur mesure. Je me voyais déjà face à elle et lui dire oui. Pour moi c'était déjà la mère de mes enfants, c'était la grand-mère de mes petits enfants et celle avec qui j'allais finir mes jours. C'est impossible que ça se finisse comme ça Louis. (Pleurant de plus belle) Dis-moi juste que c'est un mauvais rêve. Dis-moi que tu peux la ramener. Dis-moi que demain je serais de nouveau à ses côtés. Je t'en supplie louis, j'ai besoin d'elle. C'est mon eau, mon soleil, ma batterie, mon réservoir, tu peux appeler ça comme tu veux, moi j'appelle ça ma raison de vivre. Ramène la moi Louis, je t'en supplie.
Louis : je ... Je ne peux pas Harry ... (pleurant) Elle est partie mais tu n'y es pour rien, pas plus que tout le monde ici. Personne ne pourra te l'a ramené, elle est partie mais elle n'a pas disparue pour autant. Temps qu'elle sera présente dans ton c½ur elle sera toujours parmi nous. Personne ne l'oubliera ici, c'était une personne formidable. Ce n'est pas un mauvais rêve Harry ... C'est la triste vérité, les meilleurs partent toujours en premiers, c'est le triste destin que le sort réserve a certain. Ils partent trop tôt mais ce n'est pas pour autant qu'ils n'existent plus.
Harry (se levant) : Je ne fais pas partie des meilleurs mais moi aussi je vais m'en aller louis, je vais m'en aller la rejoindre !
Louis : Harry ! Ne fais pas de connerie ! N'oublie pas que tu lui as promis de continuer ta passion ! Ne fais pas de conneries Harry ! Elle veille sur toi, et nous on est toujours l'à ! Ne fais rien que tu pourrais regretter ! Pense à ta famille ! Pense à nous Harry ! Et pense à tes fans ! Ne fait pas de conneries !
Tombant au sol le bouclé, désorienté se mit à pleurer toutes les larmes de son corps. Il tourna alors de nouveau la tête vers le corps inerte de la brune et susurra un doux « jamais je ne t'oublierais. Avant je collectionner les conquêtes mais maintenant c'est fini, c'était toi, je t'ai toujours attendue et ça sera toi jusqu'à la fin. ». Il déposa un dernier baiser sur chaque paupières de la brune avant de lui fermer chaque ½il un par un. Il embrassa alors ses lèvres et se retira pleurant toujours autant.
De retour chez eux un silence pesant régné dans la maison. Le bouclé ne dit rien et monta dans sa chambre. Sur le lit, une lettre. Il prit son courage à deux mains et la saisie afin de l'ouvrir.
« Mon amour,
Je suis partie heureuse et sereine dans ce monde de l'inconnue car avec toi j'ai appris à prendre la moindre chose du bon côté quelque soit le sort que le destin nous réserve, grâce à toi j'ai tout simplement appris prendre chaque soucis du bon côté et j'ai appris à vivre. Ça paraît stupide comme ça mais sans toi je crois bien que j'en aurais fini bien avant ... La mort ne m'a jamais vraiment fait peur, je l'ai toujours touchée du doigt mais je n'avais jamais passée le cap, maintenant c'est fait.
Je veille sur toi mon c½ur, jamais je ne cesserais de penser a toi même depuis l'à où je suis. Je suis triste mais au fond je pense que la vie après la mort existe, alors je t'attends, j'attends ce moment où nous serons de nouveau réunis. Peut importe le nombre d'années que j'aurais à attendre, je sais que nos retrouvailles durerons et que nous nous retrouverons pour longtemps. En attendant ce moment, je te laisse la petite photo qui est sur ma table de chevet, c'est celle que j'ai faite le jour où nous sommes allé au bord de la falaise, tu t'en souviens mon c½ur ? Le soleil caressait ma peau et se reflétais dans l'eau comme un ciel étoilé, c'est gravé en moi a jamais. Fait moi juste la joie de ne pas faire de bêtises, promet moi de tenir la promesse que tu m'as faites, n'arrête jamais ta passion, n'arrête jamais la musique. Tu m'a rendu immortelle.
Je t'aime et je t'attends, Ton ange, Paris. »
Le bouclé avait lue la lettre le sourire aux lèvres et la larme à l' ½il. Au fond il savait lui aussi qu'ils allaient se retrouvait. Il ne voulait pas faire de bêtises, cette idée était oubliée. Il ne savait ni comment ni quand mais il savait qu'il allait la revoir. Certainement pas bientôt car il voulait tenir sa promesse mais quand ce serait son tour, il la rejoindrait et leurs histoire deviendrait alors ... immortelle.
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Bonjour chères lectrices de ATOAS. Je suis heureuse de vous annoncer l'arrivé de l'ultime et dernier chapitre de la fiction, oui oui ATOAS est bel et bien finie ... C'est triste d'un côté mais n'ayant plus le temps de continuer cette fiction je préfère la terminer avec un chapitre bien écrit que de laisser les chapitre se détériorés au fil du temps et que vous ne vouliez qu'une chose : en finir.
Je vais continuée d'écrire, d'ailleurs ma seconde fiction est en ligne, il s'agit de Out-Of-MyLife.skyrock.com , j'espère te conter prochainement dans mes lecteurs ! ♥
[Il n'y a aucune obligation dans ma dernière phrase ;)]
J'espère que cette fiction vous aura plue, je ne pense pas revenir sur ce compte, ou alors ce sera pour postée une autre fiction a la suite de celle l'à, comme ça je pourrez garder un lien avec vous. Je pense que je serais beaucoup plus présente sur OOMY. Je vous fais de gros bisous et vous remercie d'avoir lue cette fiction, a bientôt je l'espère !
1D-A-A-fiction, Posté le jeudi 27 mars 2014 13:16
Bravo vraiment une super fiction! Continue à écrire je suivrais tes fictions ! La fin est trop triste, je ne m'y attendais pas mais sérieux bravo !
Ps: si tu peux aller voire mon blog je serais super contente !... Merci bisous ;)